Que le temps passe vite et ce n’est pas la célèbre marque de montres TAG Heuer qui nous dira le contraire ! Cela fait maintenant près d’un mois que j’ai vécu une expérience au Bol d’or et… à toute vitesse. Que l’on soit passionné de bolides ou pas, on ne peut rester indifférent à ce moment unique. Laissez-moi vous raconter mon week-end de folie au Castellet.
Ma première fois à moto
Le film du séjour vu par le très bon réalisateur Antoine Janssens
La course du Bol d’Or, kesako ?
Pour les non-connaisseurs et en 2 mots, bon, disons 3 : c’est une course d’endurance moto de 24 heures qui a lieu tous les ans depuis 1922. Après Le Mans, Monthléry, Saint Germain ou encore Fontainebleau, l’édition 2017 s’est, pour la 3ème année consécutive, déroulée sur le célèbre circuit Paul Ricard au Castellet. Ce même circuit qui a accueilli les plus grandes marques comme Honda, Kawasaki ou encore Suzuki, pour donner vie aux courses les plus mythiques et légendaires.
Cette année, ce sont 500 pilotes qui se sont affrontés jour et nuit sur les 3 courses (le Bol d’or, le bol d’or classique et le bol d’or d’argent) devant près de 70 000 spectateurs. De quoi faire vivre tout un village aux vrombissements des moteurs.
Les pilotes acceptent et relèvent tous les défis comme le fait la marque TAG Heuer en prenant la lourde responsabilité du chrono. En effet, depuis plus de 50 ans maintenant, TAG Heuer s’est spécialisée en chronomètre sportif. D’une précision extrême, ce chronomètre est le maître des résultats finaux. Tout est réglé à la millième de seconde près, tout est calculé et réfléchi. Bref, ici, le hasard n’a pas sa place !
Ces qualités sont la marque de fabrique des produits TAG Heuer et particulièrement ses célèbres montres qui sont de vrais bijoux masculins d’exception. J’ai eu la chance d’en porter quelques-unes dont la sublime Monza. Une montre à la fois chic, élégante et simple, tout ce que j’aime. Cette montre iconique a été rééditée en 2016 pour célébrer les 40 ans d’histoire de la marque, l’ADN a été conservé : son chronographe tout noir équipé d’un pulsomètre et d’une échelle tachymétrique (qui transforme le temps en vitesse) accompagnés de ses aiguilles et compteurs rouges qui rappellent indéniablement le lien à la course.
Tag Heuer, « Don’t crack under pressure »
Les équipes de TAG Heuer n’ont pas craqué sous la pression et m’ont concocté un programme hors du commun pour que je puisse découvrir et vivre la course de l’intérieur. Vous connaissez ma franchise à votre égard alors sachez que moi, la moto, ce n’est pas vraiment ma première passion. Je n’y connais pas grand chose en gros moteur et en deux-roues à part mon Vespa. Alors autant vous dire, je ne joue pas dans la même catégorie que tous ces pilotes rencontrés pendant le week-end.
Grâce à eux, j’ai découvert des sensations que je ne connaissais pas. Je suis monté derrière Max Neukirchner, un super champion et croyez-moi, je n’en suis pas ressorti indemne. Ce n’était pas vraiment la balade tranquille du dimanche ! Max a décidé de me faire vivre sa passion, sa folie : 290 kms/h à l’assaut de cette piste reconnue. Des accélérations de dingue sur la plus longue ligne droite, des virages plus que serrés et toujours à fond. Mon cœur qui s’emballe et ma tête qui ne sait plus où elle est, me voilà tout chamboulé. 3 minutes de folie et de sensations incroyables que j’ai du mal à vous décrire tellement elles étaient intenses et fortes. Max a toujours su garder le contrôle de son bolide, ses gestes sont précis. Certaines expériences se doivent d’être vécues alors si vous avez l’occasion de vivre cela, foncez !
A côté de la course, j’ai pu voir la piste du ciel et c’était juste fou ! En prenant de la hauteur, on se rend compte des risques pris par ces fous du guidon sur cette piste entourée des montagnes et à quelques kilomètres de la mer.
Hôtel Spa du Castellet
Côté détente, là encore, la team TAG Heuer nous a épatés ! Notre QG était l’hôtel spa du Castellet et franchement Messieurs, si vous souhaitez impressionner votre moitié, c’est le lieu à choisir. Le cadre est splendide avec son terrain de golf, sa piscine et sa vue sur les montagnes. Un écrin de bien-être et de silence pour passer un merveilleux moment.
Cerise sur le gâteau, la cuisine y est délicieuse. Vous me direz que c’est normal pour un restaurant gastronomique mais vraiment, tout est délicat et raffiné. Christophe Bacquié, Meilleur Ouvrier de France 2004 et doublement étoilé au Guide Michelin a su me transporter au niveau gustatif, mes papilles le remercient et ne verront plus les mets de la même façon.
Bref, un week-end placé sous le signe de l’excellence et de la précision à tous niveaux.
