Si la météo de ces derniers jours était peu favorable à l’ouverture de ma ligne éditoriale au Swimwear, les montées de températures récentes m’oblige à rattraper le temps perdu. C’est avec un plaisir non dissimulé que je m’accorde une pause méritée. Troquez votre MacBook Pro pour un Mojito et votre parapluie pour un parasol, je vous transporte outre-atlantique dans les années 70’s à la (re)découverte de « Caribeach » .
Un classique des Seventies :
Faire du mieux avec du vieux … telle pourrait être la devise de la marque Caribeach qui reprend depuis 2012 les atouts essentiels du légendaire maillot homonyme en le portant au goût du jour. Bande décorative imprimée, cordon en coton, oeillets métalliques et poche plaquée réveilleront votre nostalgie des Seventies. Ajoutez y des couleurs flashies et actuelles, et vous obtenez un savoureux cocktail vestimentaire pour déambuler sur les plages de Saint Nazaire jusqu’à Daytona Beach. Une renaissance réussie qui semble rappeler le caractère indémodable de certaines tendances et le caractère cyclique de la mode.
C’est avec les modèles Kalalou et Rhum disponibles pour 115 euros que je me suis pris au jeu afin de constater que si les mentalités stagnent la technique progresse. Coupe ajustée, longueur mi cuisse, ceinture plate, fermeture pression, le maillot, doublé d’un slip intérieur 100 % coton, joue la carte du rétro-chic tout en séchant rapidement.
Voyagez au travers d’une collection tendance :
Arborez fièrement votre walkman à la ceinture, rejoignez le bord de mer avec votre longboard ou votre cruiser sous le son des Beach Boys avant de flâner au bord de l’eau guitare à la main jusqu’à apprécier un délicieux coucher de soleil. Déambuler en « Caribeach », c’est comme intégrer les photos polaroïds de vos parents foulant le sable ou rejoindre le casting d’un énième épisode des Dents de la Mer. Une résurrection audacieuse réussie pour une marque chargée d’histoire qui a le mérite de vous faire voyager dans le temps et dans l’espace.
– Caribeach –
1 comment
C’est moche non ?
Vraiment trop metro / gay, en plus vu le prix, je passe et re-passe …